Jeudi 23 mars 2017
Dans le monde du sport amateur, il ya beaucoup de défis. D’une part, il n’existe aucun contrat professionnel qui vous maintient soutenu financièrement pendant que vous êtes en concurrence. Souvent, les athlètes ont du mal à joindre les deux bouts comme amatuers, espérant qu’ils peuvent gagner assez d’argent à partir d’emplois à temps partiel ainsi que diverses bourses pour combler leurs besoins et de payer pour leurs engagements sportifs. Un autre défi est le manque de soutien des universitaires et des organisations financières. Aux États-Unis, le soutien semble être plus fort dans ce domaine, mais au Canada, il y en a beaucoup moins. Les provinces distribuent de petites quantités à des athlètes à haut niveau de performance sur presque aucun aux athlètes en développement. C’est presque comme s’ils attendaient que vous soyez bon et puis vous obtenez de l’aide. Les établissements universitaires au Canada ne sont pas autorisés à offrir des bourses d’études complètes aux athlètes s’ils font de la SIC, parce que les universités canadiennes ne le font pas. Beaucoup d’entreprises privées ne donnent pas de grandes sommes d’argent parce qu’en raison de l’absence d’exposition à de nombreux sports amateurs, très peu de publicité peut être obtenue à ces endroits. Last but not least à l’apogée de votre carrière amateur, la récompense financière pour un athlète gagner une médaille aux Jeux olympiques est très faible (environ 20 000 $). La plupart des athlètes canadiens disent qu’ils rivalisent pour l’amour du sport et non pour l’argent. Bien que je suis d’accord que c’est la forme la plus pure de la concurrence et que nous faisons la concurrence pour l’amour du sport, avoir vos besoins de base rencontrés ne devrait pas être trop demander quand vous essayez le processus long et ardu pour devenir un athlète d’élite.
Les athlètes de Vincent Massey pratique en préparation pour un tournoi
La route vers les Championnats canadiens de lutte libre est difficile. Il commence dans la salle de d’entrainement, où les jeunes athlètes doivent équilibrer l’école et la pratique. Certains athlètes s’entraînent six fois par semaine, deux à trois fois par jour, tout en équilibrant leur engagement à l’école. Ensuite les viennent tournois. Pour se préparer au plus haut niveau de compétition, les lutteurs ont besoin de matches. Le voyage constant peut porter sur une psyché des athlètes et il faut une forte force mentale pour être en mesure de rivaliser presque tous les week-end. Ensuite vient la coupe de poids. L’acte de perdre du poids est à la fois un défi physique et mental. Les lutteurs perdent souvent plus de 5 kilos pour s’assurer qu’ils ne sont pas physiquement à un désavantage dans leurs divisions de poids que presque tout le monde fait la même chose. Parler d’expérience, l’acte de faire du poids peut parfois être la partie la plus difficile.
Les athlètes de la YMHA de Montréal font une brève sieste en route vers St-Catharines
Finalement, à la fin de la route, il y a la concurrence réelle. Pour de nombreux lutteurs, les Championnats nationaux sont leur but pour la fin de l’année. Alors que certains athlètes d’élite de plus peuvent s’efforcer pour les Jeux olympiques et les championnats du monde, qui est en soi un autre défi, pour de nombreux jeunes lutteurs les championnats nationaux est-il et le processus d’y arriver est le défi.